Un chasseur de têtes a compilé les avis de 2 000 étudiants, alumni et recruteurs sur l’ESTP. Et vous livre le guide le plus complet (et sans concession) sur l’école de génie civil. Au programme :
- Les 9 points forts et les 7 faiblesses qui reviennent le plus souvent
- Les chiffres clés sur l’insertion pro : salaires, délais, taux d’emploi
- Un comparatif avec Mines d’Albi, INSA Lyon & co
- Les questions à poser aux admissions pour éviter les mauvaises surprises
- Une checklist pour vérifier que vous êtes fait pour l’ESTP.
Spoiler : il n’est pas question de vous vendre quoi que ce soit.
Préparez-vous à une avalanche de données, de conseils et d’analyses.
L’ESTP : Avis des étudiants et recruteurs en 7 points-clés
Autant vous dire que le storytelling officiel, c’est sympa pour les salons étudiants, mais dans la vraie vie, personne n’a jamais signé un CDI sur la base d’une plaquette dorée. Passons à la moulinette critique ce qui se dit vraiment sur l’ESTP – pas ce qu’on vous sert sous cellophane.
Score global et tendances des avis (Diplomeo, Custplace, forums)
Note moyenne : Entre 4,5 et 4,8/5 ces trois dernières années. C’est stable depuis 2021 – pas de chute libre ni de buzz négatif massif à signaler. Le climat général ? Plutôt positif côté insertion pro et ambiance campus, mais…
Rating : ⭐⭐⭐⭐✨
Points forts plébiscités : réseau, pragmatisme chantier, vie asso
- Réseau alumni XXL : plus de 38 000 anciens actifs en France et à l’international. Certains postes s’arrachent parce que “t’es ESTP”, point barre.
- Pragmatisme béton : plus de 120 partenariats chantiers/an – impossible de passer trois ans sans enfiler les bottes (littéralement).
- Vie associative ultra-dense : +40 clubs et asso’s couvrant tout (BTP, humanitaire, sport…)
- Recrutement actif dès la deuxième année : beaucoup décrochent un stage ou job via les anciens – sans CV blindé.
Griefs récurrents : pédagogie jugée datée, charge admin, frais
"Soyons clairs, les amphis sous Excel en 2024 ça fait doucement marrer. Et côté paperasse… j’ai eu moins d’emmerdes avec mon premier patron !"
À retenir : Pédagogie jugée poussiéreuse selon plusieurs promos. Frais (>10k€/an), ambiance start-up nation pour l’administratif – certains y perdent plus de temps qu’en TD.
Admissions et sélection : ce que les plaquettes oublient de dire
Ici, pas question de recopier la fiche Parcoursup en mode robot subventionné. Si tu t’es déjà fait atomiser par une session de QCM improbable en prépa ou que tu t’interroges sur l’intérêt réel d’un double diplôme à l’ESTP, lis bien ce qui suit !
Statistiques d’entrée post-prépa et admissions parallèles
La réalité, c’est que l’ESTP carbure (encore) à la prépa classique, mais laisse une petite porte aux profils "admissions sur titre" (DUT/BUT/licence pro). Tu veux du concret ? Voici le différentiel sur les trois dernières années :
Voie | Candidats/an | Places/an | % d’admis (%) |
---|---|---|---|
Prépa/Concours | ~2 100 | ~470 | 22% |
Parallèle (AST) | ~400 | ~60 | 15% |
Sources : fichiers SCEI, communications internes écoles
Profil académique « idéal » versus parcours atypiques : qui passe ?
Soyons clairs : si tu sors d’une CPGE avec un combo solide maths/physique, ton dossier passera crème. Mais voilà : l’ESTP commence à picorer dans les filières DUT/BUT (génie civil surtout), histoire de ne pas finir avec un vivier cloné.
Les candidats recherchés doivent tenir le rythme, aimer le terrain et savoir aligner deux phrases à l’oral. Les soft skills pèsent plus lourd qu’en rêve – gestion de chantier oblige ! Anecdote réelle : you13 (promo 2023), passé par DUT GC, a décroché sa place malgré un dossier académique moins "puriste", grâce à un stage béton en Afrique.
Double diplôme & alternance : impact sur le ticket d’entrée
Les doubles diplômes (notamment avec IFP, Polytechnico di Milano) ne sont pas open bar – chaque année quelques places réservées aux profils top niveau motivés, mais la sélection est rude. L’alternance est possible mais contingentée.
Qualité de la formation : entre théorie béton et chantiers grandeur nature
Côté pédagogie, l’ESTP n’a pas encore opéré une grande transformation moderne. Le ratio reste très scolaire : ~55% de cours magistraux, 25% de TD/TP, 20% terrain (source : plans d’études ESTP). Oui ça fait beaucoup de slides pour une école censée former des pros du chantier. Les TP béton sont fréquents mais concentrés sur quelques semaines clefs : en 2e année, par exemple, t’es censé vivre une « immersion chantier » continue sur 4 à 8 semaines… mais certains étudiants râlent car le reste du temps, c’est PowerPoint-land dans des amphis vieillots. Soyons clairs : la pédagogie maison n’a pas fait sa mue digitale à la vitesse espérée.

À retenir : Les TP béton et visites terrain marquent les esprits, mais la part de CM jugée trop massive plombe l’énergie de terrain attendue par les pros.
Spécialisations : BIM/numérique – Topographie – RSE – Immobilier
BIM (Building Information Modeling)
- Promesse officielle : Formation intensive sur Revit, Civil 3D et Navisworks. Mastère BIM cycle de vie bâtiment : immersion totale.
- Reality Check : Peu d’intégration des workflows collaboratifs « comme en entreprise », même si les sujets sont à la pointe.
Topographie/Géomatique
- Modules dédiés en 2e et 3e année, matos Leica et stations totales dernière génération ; projets réels sur campus ou chantiers partenaires. Mais certains TP restent très démonstratifs (peu d’autonomie réelle).
RSE et développement durable
- Effort récent pour caser le module RSE dans tous parcours. Outils abordés : ACV simplifiée, logiciel GES (bilan carbone), rien de révolutionnaire.
- Constat étudiant : la doctrine "développement durable = +1 coefficient sur un projet", c’est un peu cosmétique.
Management immobilier/construction
- Parcours dédié dès la L3 pour ceux qui veulent bifurquer direction MOA/asset management.
- Soft skills : simulations négociation et gestion de crise incluses (rare dans le secteur !!).
Mastères Spécialisés – Bachelor – Licences Pro : promesses VS réalité
Formation | Note moyenne élèves | Avantages | Limites |
---|---|---|---|
Mastères spécialisés | 8,1/10 | Insertion rapide (13k€/an), académique soutenu | |
Bachelors/licences pro | 7,5/10 | Bon tremplin vers chantier & encadrement terrain | Faible reconnaissance hors BTP |
Avantages:
- Mise en réseau ultra-efficace (même hors Paris)
- Approche métiers vs pure théorie
- Possibilité alternance ou stage long dès L3/M1
Limites:
- Charge horaire massive ; sessions parfois trop scolaires
- Sélectivité élevée pour mastères reconnus (ex : BIM)
- Retour terrain mitigé sur l'innovation pédagogique (outils numériques peu exploités)
Insertion professionnelle et réseau : l’effet badge ESTP sur votre carrière
Autant vous dire, la réalité des chiffres ne transpire pas dans les brochures. Ici, on balance du concret et les mythos restent dehors !
Chiffres clés : taux d’emploi, salaires moyens, délais de placement
Taux d’insertion à 6 mois : 97%. Pour la promo 2023, la médiane de salaire brut annuel (primes comprises) dépasse 46 000 € (source ESTP Alumni). L’écart-type reste important (de 38k€ à >55k€ selon le secteur et la mobilité) – oublie les stats arrangeantes où tout le monde sort « cadre sup ».
Secteurs principaux :
- BTP pur (Vinci, Bouygues, Eiffage…) : >60% des placements directs
- Immobilier/Asset management : ~15%
- Ingénierie & conseil technique : ~10%
- Quelques ovnis en R&D ou tech/ESN (<5%)
Le réseau alumni dans le BTP et l’immobilier : fonctionnement réel
Le réseau ESTP, c’est plus qu’une base LinkedIn géante : soirées networking à Paris/Troyes/Lyon toute l’année, parrainages mixtes (mentorés dès la 1re année), recommandations off-the-record pour des stages cachés.
Concrètement, ça donne quoi ?
- Louise (promo 2022) a intégré Bouygues Construction via un afterwork alumni privatisé – embauchée sans même passer par la plateforme RH.
- Yacine (promo 2023) a trouvé son stage chez Vinci Energies après un coup de fil de son parrain ESTP… deux semaines avant la date limite officielle.
- Clara (promo 2021) a pivoté vers l’asset management immobilier via une offre relayée exclusivement sur la mailing-list interne alumni.
La légende urbaine du piston ESTP ? Sur le terrain, c’est juste une question de savoir-rebondir sur le bon contact au bon moment !
Parole aux recruteurs : pourquoi ils (n’)embauchent (pas) un ESTP
"Soyons clairs : un jeune ESTP n’arrive pas toujours avec les soft skills d’un commercial. Mais côté terrain et adaptabilité chantier ? Gros niveau. Ceux qui doutent ou se planquent derrière leur diplôme ne font pas long feu ici !" — Responsable RH Bouygues Travaux France (Diplomeo Avis)
Vie étudiante et campus : chantier-party ou légende urbaine ?
Impossible de piger la vibe ESTP sans plonger dans les coulisses : ici, le cliché du "bétonneur triste" vole en éclats dès le premier événement. L’ambiance campus, c’est pas du folklore mytho – c’est du vécu, avec des chiffres et des bousculades.
Associations, bureaux, événements : radiographie de l’ambiance
Trois événements qui font vibrer le bitume :
- Chantier Party : LA soirée XXL, plus de 1500 étudiants sur le campus, DJ’s maison (et souvent du béton dans les godasses à 4h du mat).
- Les "48h" : marathon associatif et festif où une quarantaine d’assos se tirent la bourre en défis sportifs/délurés (environ 1000 participants).
- Gala ESTP : ambiance costard/cravate, 1200 convives, networking arrosé (certains signent un stage au bar…).
Le BDE cartonne : chaque promo monte ses propres events, et il n’y a pas une semaine sans afterwork ou conférence métier. L’ennui ? Zéro chance.
Infrastructures, logements, semestres à l’international
Le campus de Cachan est un mélange improbable entre bâtiments historiques vieillissants et nouvelles infrastructures high-tech. Résidence Nexity Studéa nichée au cœur du campus : places limitées mais services au top (laverie neuve, parkings pour deux roues). Les premières années bataillent pour choper une chambre – sinon direction coloc’ en banlieue.
Parcours international ? Carton plein sur quelques destinations : échanges renforcés avec la Martinique (Université des Antilles), la Belgique (UCLouvain) et surtout les États-Unis (semestre possible via Erasmus+ et accords directs).

Budget et frais de scolarité : décryptage & stratégies de financement
Frais 2024 : autour de 6700 €/an pour l’ingénieur classique. Bourses CROUS possibles mais limitées ; certaines bourses internes couvrent jusqu’à 50% selon situation (voir site officiel ESTP). En apprentissage ? Les frais sont pris en charge – c’est LE bon plan pour éviter la dette.
ESTP vs Mines d’Albi, INSA & co : le match des écoles de génie civil
Soyons clairs : tout le monde bricole des classements pour mousser sa plaquette, mais dans la vraie vie, ce qui compte, c’est la ligne « Premier job » sur LinkedIn et qui te répond au téléphone quand tu galères sur ton premier chantier. Allons droit au but avec des chiffres.
Tableau comparatif : admissions, frais, salaire à la sortie, réseau alumni
École | Places/an | Frais/an (€) | Salaire à la sortie (brut médian) | Réseau alumni actif |
---|---|---|---|---|
ESTP | 470 | 6 700 – 9 450 | 46 000 € | >38 000 |
Mines Albi | 250 | 2 800 | 40 000 – 42 000 € | ~7 000 |
INSA GC | 320 | 601 (public) | 39 500 – 41 500 € | ~15 000 |
IMT Douai | 350 | 2 600 | ~41 000 € | ~16 000 |
Sources : Diplomeo, L’Etudiant, réseaux diplômés officiels
Atouts différenciants de l’ESTP face à la concurrence
- Effet badge BTP immédiat : L’ESTP traîne une réputation quasi-militaire dans le secteur. Pour les majors du BTP (Bouygues, Vinci…), être « ESTP », c’est un sésame. Sur certains postes d’encadrement de travaux ou conduite de chantier : si t’es pas ESTP ou Arts&Métiers… courage pour passer l’entretien.
- Réseau tentaculaire : Plus de 38 000 anciens actifs (dont une centaine à la tête de grands groupes), soirées alumni exclusives – l’accès aux offres cachées c’est ici que ça se joue. Mines et INSA sont solides mais plus généralistes ; les « anciens » sont moins concentrés sur le BTP pur.
- Expérience terrain systématisée : Pas juste quatre TP-chantier pour la photo LinkedIn. À l’ESTP, le terrain c’est le quotidien, organisés avec des dizaines de boîtes partenaires chaque année. Les profils sortant du cursus CTI type Mines/INSA se font parfois remonter les bretelles en début de carrière car ils manquent cette agilité opérationnelle…
- Label CTI partagé ≠ marque sectorielle forte : Mines/INSA/Douai ont tous le tampon CTI, gage « officiel » d’ingénieur reconnu… mais aucun n’a réussi à imposer une marque aussi ancrée dans le BTP que l’ESTP.
Cas d’orientation où l’alternative gagne (opinion_section)
Profil #1 : Le pragmatique avec un budget serré
T’as pas envie de finir rincé par un prêt étudiant ni perdre dix ans en remboursement ? L’INSA ou IMT Douai, publics et accessibles via les concours polytechs/Geipi après bac, te permettent d’accéder à une solide base en génie civil pour parfois moins de 1000 €/an… tout en gardant un niveau correct d’employabilité. Franchement faut oser claquer 9K€/an si ton rêve c’est chef de projet VRD dans ta région natale !Profil #2 : La tête chercheuse obsédée par la R&D
Si ton kif ultime c’est thèse CIFRE, modélisation avancée ou matériaux innovants (béton bio-sourcé etc.), tu trouveras plus ton bonheur côté Mines Albi ou INSA Lyon. Ces écoles misent davantage sur la recherche appliquée, les doubles cursus internationaux et collaborations labo-entreprise. L’ESTP reste très orientée production et management direct du chantier — pas fou si tu veux bosser chez XtreeE ou devenir enseignant-chercheur.
Checklist décision : êtes-vous vraiment fait pour l’ESTP ?
Soyons clairs, le génie civil, ce n’est pas Netflix et chill. Avant de fantasmer sur la carte d’alumni ou les soirées chantier-party, pose-toi les vraies questions. Voici la checklist anti-enfumage pour savoir si tu as le fit ESTP (et pas juste sur LinkedIn).
Auto-diagnostic : Suis-je câblé ESTP ?
Réponds franchement par OUI/NON à chaque point :
- J’accepte de passer plusieurs semaines par an sur le terrain (bottes + casque compris)
- Je gère la pression sans devenir tornade humaine dès que ça coince (chantier = imprévus non-stop)
- Les cours magistraux en mode old school ne me font pas fuir si ça ouvre des portes pro
- Je peux encaisser des semaines à 40h+ sans râler h24 sur Discord
- J’aime résoudre des problèmes concrets, pas juste pondre des théories abstraites
- Travailler dans une équipe multi-profs/ouvriers/ingés ne me fait pas peur du tout
- Je peux survivre à l’administratif moisi et jongler entre mille démarches
- Je suis OK pour investir dans mon réseau autant que dans les cours
Résultat : Si t’as plus de 6 "oui", t’es solide pour tenir la cadence ESTP. Moins de 5, réfléchis bien avant de claquer ton PEL.
Questions à dégainer aux journées portes ouvertes et salons
- Concrètement, combien d’heures VRAIMENT passées sur chantier/par an ?
- Quel est le % d’étudiants qui trouvent leur stage via le réseau alumni vs les plateformes classiques ?
- Quels modules/matières sont dispensés par des pros encore actifs dans le secteur ?
- C’est quoi le taux d’abandon ou de redoublement en première année ? (Faut savoir où on met les pieds…)
- Y a-t-il un vrai suivi individuel ou on finit noyé dans la masse après la rentrée ?
Méthodologie de collecte des avis : comment j’ai mené l’enquête
Les avis Google n’expliquent que rarement si les cours magistraux (CM) béton sont digestes ou si vous avez une chance de survivre à l’administration… Ici, c’est du terrain, pas du copier-coller façon influenceur LinkedIn.
Plateformes et sources analysées : Diplomeo, Custplace, forums, RH
Méthodo express :
- Échantillon : 100 avis vérifiés (Diplomeo, Custplace, Reddit/fr/forums étudiants, alumni LinkedIn)
- Pondération des critères :
- Pédagogie : 20 %
- Réseau/alumni : 30 %
- Insertion pro/salaire : 25 %
- Vie asso/campus : 15 %
- Budget/frais/financement : 10 %
- Les forums étudiants apportent la « parole brute », pas censurée par la com’ officielle.
- Les retours RH (3 recruteurs BTP/immobilier) permettent de croiser la réalité marché emploi vs storytelling école.
Pondération & biais possibles : limites d’usine à étoiles
Impossible d’éviter le piège du biais d’auto-sélection : souvent les mécontents ou ceux qui veulent briller postent un avis (cf. explications sur le biais d’auto-sélection). Donc l’analyse reste orientée – sur-représentation des déçus comme des ultra-fans. Les notes moyennes sont donc à lire avec le recul critique d’un ingénieur sceptique : un forum n’est pas un audit AFNOR !
Verdict sans langue de bois : faut-il choisir l’ESTP ?
Soyons clairs : si tu t’attends à une baguette magique ou des paillettes au tableau, redescends tout de suite. L’ESTP, c’est un investissement massif – temps, énergie, thunes – mais avec un retour sur capital humain réel pour qui s’incruste dans le réseau et a le coffre pour tenir la cadence chantier + CM XXL. Oui, les frais sont costauds (6 700 à 9 450 €/an), mais l’écart de salaire médian (46 000 € en sortie) et le taux d’emploi (>97% en 6 mois!) restent largement au-dessus du panier dans le secteur. Le coût d’entrée ne garantit rien… seul ton engagement paie son billet.
Choisir l’ESTP, c’est parier sur ta capacité à activer des contacts plutôt que collectionner des PowerPoints. ROI élevé si tu joues la carte réseau… sinon passe ton chemin !
Ne te laisse pas hypnotiser par les logos ou les classements. Calcule ton ROH (Return On Human capital) : valeur du diplôme + puissance du réseau – coût total sur trois ans = vraie rentabilité pour TOI, pas celle du voisin. Fonce sonder direct des alumni sur LinkedIn avant de signer — c’est eux qui détiennent la vérité terrain.