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Score TOEIC niveau : à quoi correspond votre résultat ? Tableau, niveaux CECRL et conseils

Vous pensiez qu’un score de 800/990 au TOEIC était un bon score ? On vous explique en quoi vous avez (peut-être) tort. Et surtout, on vous dit comment atteindre le score qu’il vous faut vraiment.

15 min
Orientation & Conseils
13 September 2025 à 0h14

Soyons clairs : un "bon" score au TOEIC n’existe pas. Car obtenir le score qui vous convient dépend de votre projet. Et surtout, car il est impossible de juger de la qualité d’un score sans comprendre à quel niveau il correspond. Autant dire que cette confusion générale mène à des décisions d’orientation et de recrutement aussi hasardeuses qu’inadaptées. Alors, on a décidé de vous expliquer tout ça, dans un article ultra-complet :

  • La grille complète des scores et niveaux
  • Quel score attendre pour quel niveau ?
  • Le niveau que les recruteurs attendent de vous
  • Les stratégies pour atteindre le score qu’il vous faut
  • Les pièges à éviter absolument. On vous prévient : cet article risque de changer votre vision du TOEIC. Mais surtout, il pourrait bien changer la suite de votre parcours.

Le TOEIC : Ce score qui pèse lourd (trop lourd ?) dans votre parcours

Décryptage express : c'est quoi le TOEIC, au juste ?

Le TOEIC, on ne va pas tourner autour du pot : c'est un outil de mesure standardisé, calibré pour quantifier vos compétences linguistiques en anglais professionnel. On parle d'un score allant de 10 à 990 points, censé indiquer le degré d'aisance avec lequel vous allez pouvoir survivre (ou non) dans un environnement de travail international. Pas plus, pas moins. Rien n'est magique ici : le TOEIC ne fait que mesurer, il ne crée aucun talent spontané.

On vous vend le TOEIC comme le Saint-Graal de l'anglais pro, autant vous dire que c'est souvent un mirage.

Autant vous dire que ce score pèse parfois bien plus lourd dans la balance des admissions et recrutements qu'il ne le devrait. Mais soyons clairs : dans la vraie vie, ce n'est qu'une jauge, pas une fin sacrée.

Pourquoi tout le monde s'affole pour un score en anglais ?

Le TOEIC s'est imposé comme le sésame pour ouvrir les portes des écoles de commerce, des masters ou même du premier job. Pourquoi ? Parce qu'il a été adoubé par ETS Global, qui l'a transformé en monnaie d'échange universelle en France et à l'international : tout le monde connaît la marque, tout le monde fait semblant d'y croire dur comme fer.

Côté entreprises et écoles ? Elles raffolent de sa standardisation : même barème pour tous, aucune ambiguïté sur la valeur du résultat. Résultat :
- Certaines formations exigent expressément un score minimal pour valider votre diplôme (B2 minimum syndical pour les écoles d'ingénieurs ou de commerce)
- Les recruteurs s'en servent comme filtre automatique, sans chercher plus loin vos vraies compétences communicatives.

Bref, on se retrouve tous pris dans cette mécanique où un chiffre décide si vous êtes "bankable" ou non. Malaise collectif garanti !

Pourquoi le TOEIC est devenu un passage obligé

Les différents formats : TOEIC Listening & Reading, mais aussi Bridge, Speaking & Writing...

Dans la vraie vie, on ne parle quasiment que du TOEIC Listening & Reading (L&R), la version star avec ses 200 QCM calibrés sur 990 points — le ticket d'entrée officiel. Mais la galaxie ETS propose quelques variantes qui méritent une ligne ou deux :

  • TOEIC Listening & Reading : L'original visé par tous, axé sur compréhension orale/écrite en contexte pro.
  • TOEIC Speaking & Writing : Mesure la capacité à s'exprimer à l'oral et à l'écrit — ultra rare sur les CV français.
  • TOEIC Bridge : Version light pour intermédiaires/lycéens ; plafond plus bas ; reconnaissance moindre.

N'espérez pas impressionner grand monde avec autre chose que le L&R classique… mais au moins vous saurez que ça existe.

La vérité crue : quel score TOEIC pour quel niveau CECRL ? On vous dit tout.

Le CECRL, ce truc dont tout le monde parle sans le comprendre : le décodeur ultime.

Soyons clairs, dans la vraie vie, balancer "je suis B2" à table fait effet... mais qui pige vraiment ce que ça veut dire ? Le Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (CECRL), c'est la grille qui classe votre anglais comme on trie des patates : six niveaux, de A1 (baby step) à C2 (élite rare).

  • A1: Vous baragouinez trois phrases, idéal pour commander une pizza à Londres.
  • A2: L'anglais de la débrouille, comprendre un menu ou demander son chemin si vous n'avez pas peur du vide.
  • B1: Intermédiaire bancal. Capable de survivre dans un échange pro ultra basique, pas plus.
  • B2: Là on commence à parler autonomie, échanges soutenus, réunions pros -- le vrai ticket d'entrée pour les écoles et entreprises sérieuses.
  • C1: Presque bilingue ; nuance, blagues et sarcasmes compris. Autant dire : peu y arrivent sans s'expatrier ou binge-watcher Netflix VOST trois ans.
  • C2: Niveau quasi-MI6. Vous rêvez en anglais.
Le CECRL est votre boussole. Sans lui, le score TOEIC n'est qu'un chiffre dans le vide. Savoir le décrypter est la première étape pour ne pas se faire avoir.

Barème TOEIC : le tableau qui va vous parler (ou pas)

Autant vous dire que l'équivalence entre scores TOEIC et niveaux CECRL fait plus débat que vos sujets de famille au réveillon. Mais voici la version décodée sans fioritures :

Tableau de comparaison entre score TOEIC et niveaux CECRL
Niveau CECRL Description du niveau Fourchette de scores TOEIC
A1 Débutant total 120 - 224
A2 Élémentaire / Survie 225 - 549
B1 Intermédiaire basique 550 - 784
B2 Indépendant avancé 785 - 944
C1 Opérationnel supérieur 945 - 990
C2 Maîtrise absolue (non atteint)* >990 (non mesuré)

*En réalité, le C2 n'est pas validé par un score TOEIC car le test plafonne à C1+.

La vérité crue : Peu atteignent les hauteurs annoncées. Le marketing vend du rêve... le barème rappelle la dure loi de la statistique.

Les paliers fatidiques : où se situe votre score actuel et où devez-vous viser ?

On va se regarder dans les yeux deux minutes : chaque palier change la donne, mais tout le monde ne joue pas avec les mêmes cartes selon son projet… ou ses illusions.

Niveau A1/A2 (<549 points) : Les bases, quoi. Suffisant pour quoi ?

Ici c’est l’anglais de survie pure — bonne chance pour décrocher autre chose qu’un stage d’observation à l’étranger ou lire des manuels IKEA UK sans pleurer. À partir de ce score, on touche l’os : aucun master sérieux ni entreprise internationale ne s’en contentera.

Niveau B1 (550-784 points) : L’indépendant basique, mais est-ce vraiment suffisant ?

Vous êtes « compréhensible » tant qu’on ne vous balance pas un natif new-yorkais en speed devant la machine à café ! Soyons honnêtes : le B1 permet d'assurer quelques mails pros bateau ou briller lors d’une réunion… si on vous laisse prendre votre temps – très loin de tenir une négociation serrée ou gérer l’imprévu !

Niveau B1 en anglais : compétences et attentes

Niveau B2 (785-944 points) : Le Graal ? Ce qu’on attend vraiment de vous.

B2 = passeport quasi-obligatoire pour valider un diplôme Bac+5 digne de ce nom ou espérer éviter la pile « non retenu » côté RH moderne. Ici on attend autonomie réelle et compréhension fine du contexte pro — exit les réponses formatées !
Mais attention : c’est aussi là que beaucoup stagnent longtemps car passer au-dessus relève parfois du parcours du combattant administratif/mental/pédagogique combiné…

Comment atteindre le niveau B2 en anglais ?

Niveau C1/C2 (>945 points) : Le niveau d’excellence, mais combien de personnes l’atteignent réellement ?

C1 – Franchement rare sur les rapports d’écoles françaises sauf profil méga-exposé à l’international ou geek puriste multi-écrans native speaker inside… Là vous pouvez prétendre animer des réunions complexes sans suer à grosses gouttes !
C2 ? Un mirage sur papier car même ETS avoue que leur test ne différencie plus au-dessus… Résultat : au-delà des 990 points annoncés n’espérez aucune reconnaissance supplémentaire ni médaille du mérite linguistique française ; c’est juste bon pour flatter votre ego LinkedIn.

Alors, un bon score au TOEIC, ça ressemble à quoi en 2024 ?

Le mythe du "bon score" : une notion qui évolue et dépend de vos objectifs

Autant vous dire, la question du "bon score" au TOEIC est le marronnier préféré des forums d’étudiants perdus et de parents stressés. Soyons clairs : le bon score universel n’existe pas, sauf dans la tête de ceux qui adorent les classements absurdes. Un coup on vous sort que 800 c’est le Graal, un autre jour il faut viser 950 pour "se démarquer" (dixit les gourous de l’élitisme linguistique). Mais dans la vraie vie ?

Le seul score valable est celui qui débloque VOS projets. Si votre ambition c'est un BTS tourisme local, pas la peine de braquer une banque pour passer de 780 à 930. À l’inverse, viser haut peut servir si vous visez la crème des écoles ou les multinationales les plus tatillonnes.

"Un score élevé ne transforme pas un étudiant passif en as du pitch international ni un diplômé banal en leader mondial... mais peut ouvrir (temporairement) quelques portes bien verrouillées !"

Opinion tranchée : Arrêtez d’acheter le rêve du chiffre magique. Ce n’est pas le score qui compte, c’est ce que vous voulez en faire. On n’est pas tous obligés d’adorer la même jauge.

Pour les études supérieures : le niveau B2, le minimum syndical ?

Clé symbolisant l'accès académique grâce au TOEIC

Dans le circuit sélectif des admissions parallèles et écoles de commerce françaises, la grille de lecture des recruteurs académiques est limpide : B2 (785 points) = ticket d'entrée obligatoire. Certaines écoles (ESSEC Global BBA par exemple) exigent justement autour de 780 points, Toulouse BS vise déjà 720... mais soyons honnêtes : avoir juste 785 c’est le minimum syndical. Ceux qui grattent au-delà de 900/940 posent leur dossier tout en haut de la pile — pourvu qu’ils aient autre chose à raconter qu’un QCM réussi.

Anecdote véridique : lors d’une session d’admissions orales dans une grande école parisienne, j’ai entendu un membre du jury soupirer devant un dossier affichant 990 — "Encore un qui compense son absence d’expériences pro avec son TOEIC…"

Checklist – Études supérieures & TOEIC
- 785 points requis partout : seuil plancher B2
- Certains concours demandent explicitement +900 (voire plus)
- Toujours vérifier les prérequis spécifiques de chaque école ou formation avant de se stresser inutilement
- Plus c'est haut, plus ça rassure… mais ça ne remplace jamais les stages et engagements réels !

Pour l'insertion professionnelle : ce que les recruteurs regardent VRAIMENT

Le monde du travail adore afficher des chiffres ronds mais dans la vraie vie : le TOEIC n’est qu’un indicateur parmi tant d’autres — rien à voir avec LE critère clé. Dans certains secteurs comme l’ingénierie multinationale ou l’audit international, oui, on va vous demander minimum 800/850 pour éviter toute mauvaise surprise sur Skype avec Singapour. Dans d’autres contextes ? Le score sert surtout à remplir un case sur LinkedIn.

On note que beaucoup de recruteurs cherchent surtout la cohérence entre votre profil global et votre prétention linguistique affichée ; ils scrutent aussi votre capacité à communiquer face à l’imprévu (soft skills inclus). Un joli chiffre sans preuves concrètes derrière ? Ça sent vite l’esbroufe.

Score minimum attendu par secteur (ordre de grandeur) :
- Grandes entreprises internationales : ⭐⭐⭐⭐ sur 5 – souvent demande >850 pour rassurer RH et clients exigeants.
- PME françaises : ⭐⭐⭐ sur 5 – utile mais rarement décisif.
- Secteur public français : ⭐⭐ sur 5 – parfois réclamé pour des concours précis seulement.
- Startups innovantes : ⭐⭐½ sur 5 – priorité aux idées et à l’agilité avant le QCM.

Alerte transparence : afficher fièrement son "bon" score doit s’accompagner d’un minimum d’humilité ; ce n’est ni une garantie d’embauche ni un talisman anti-entretien foireux ! Si vous pensez que coller "955/990" en haut du CV va changer votre destin… autant déchanter tout de suite.

Comment passer de votre score actuel à celui dont vous avez besoin (sans y laisser votre chemise)

Évaluer votre niveau réel : les tests blancs, votre meilleur allié (et ennemi)

Test blanc TOEIC annoté avec des stylos rouges et verts

Autant vous dire que le test blanc TOEIC, c’est l’électrocardiogramme de vos illusions linguistiques : ni plus ni moins que le miroir sans filtre de vos progrès mais surtout de vos plantages. Se coller à des séries de 200 questions chronométrées (cf. plateformes d’entraînement sérieuses, Edulide ou digiSchool) n’a rien d’un loisir du dimanche : c’est l’outil ultime pour identifier ce qui cloche — pronoms qui volent en éclat, questions pièges ou gestion du temps catastrophique.

Soyons clairs, on ne progresse QUE si on met son ego au placard et qu’on analyse froidement ses scores blancs. Leur régularité est non-négociable : un test toutes les deux semaines minimum, sinon autant aller planter des radis. Et croyez-moi, la plupart découvrent trop tard que leur "aisance" s’arrête à la deuxième page…

Ne sous-estimez jamais un test blanc : c'est un miroir impitoyable de vos lacunes actuelles, mais une feuille de route pour progresser.

Stratégies gagnantes pour le TOEIC Listening & Reading : le QCM décortiqué

On va couper court au folklore : dans la vraie vie, seuls ceux qui bossent méthodiquement percent le secret du QCM TOEIC. Quelques règles en béton :
- Listening : Lisez TOUTES les réponses avant d’écouter, anticipez les mots-clés et restez vissé sur la bande-son, même si vous sentez couler la sueur froide.
- Reading : N’essayez pas tout lire ! Repérez d’abord les mots pivot dans les questions puis scannez ultra-vite le texte pour localiser l’info.
- Temps : Divisez chaque section en quotas ; ne vous attardez jamais sur une colle — cochez, avancez. Le perfectionnisme tue le score.
- QCM : Méfiez-vous des tournures "trop évidentes", c’est souvent là qu’on vous cueille au passage.
- Entraînement : Alternez écoute active (pistes audio variées) et lecture rapide (articles pros/annonces/publicités).

Pour ceux qui aiment les plans d’action sans bla-bla : Astuces pour réussir le TOEIC Listening & Reading

Les pièges à éviter : ce que les écoles ne vous disent pas sur la préparation

Franchement ? La moitié des préparations vendues ressemblent à du marketing sous stéroïdes. On promet monts et merveilles avec trente heures de "cours magistraux" alors qu’en réalité,
c’est votre boulot personnel qui compte.

Points noirs repérés chez ceux qui échouent lamentablement :
- Faire confiance aux formations où personne n’a passé le test depuis 2015.
- Gaver sa tête de théorie grammaticale sans pratique concrète.
- Bosser sur des annales obsolètes ou jamais corrigées.
- Tomber dans le piège des applis miracles qui notent tout à la hausse…

Points de vigilance pour une préparation au TOEIC : se méfier des promesses trop belles, privilégier la pratique, vérifier la pertinence du matériel.

Anecdote vécue : j’ai vu un centre soi-disant premium préparer ses élèves avec des fascicules datant de 2007 — résultat ? Zéro progression après trois mois… Soyons sérieux cinq minutes.

Se préparer pour les autres épreuves : Speaking & Writing, vraiment utiles ?

Soyons clairs : en France métropolitaine, peu d’écoles réclament ces modules — mais si vous visez l’international ou certaines boîtes pointilleuses sur vos capacités réelles à parler/écrire business English, ça peut valoir l’investissement…
Leur utilité explose si elles sont demandées DANS LE CADRE précis d’une sélection ou d’un recrutement pointu (pas juste pour collectionner les lignes sur LinkedIn !).

Côté formation payante ? Ce n’est rentable QUE si elle est personnalisée (travail ciblé sur vos faiblesses), interactive et basée sur une vraie méthodologie adaptée au format testé. Les cours "généralistes" type collège recyclé = argent jeté par les fenêtres.
Pour trancher net sur cette question brûlante : TOEIC Speaking & Writing : faut-il les passer ?

Conclusion : Le TOEIC, un outil, pas une fin en soi (Rappelons-le quand même)

On ne va pas se mentir : le TOEIC fait partie du décor, mais il n’a jamais été – et ne sera jamais – la preuve ultime que vous maîtrisez l’anglais. Ce n’est qu’un thermomètre, un relevé de compte momentané, pas votre vraie fortune linguistique. Soyons clairs : ce qui compte vraiment, c’est ce que vous savez faire avec la langue quand il n’y a plus aucune note à décrocher.

Votre niveau réel est votre seul vrai capital. Le score TOEIC, c'est juste le relevé bancaire qui dit combien vous en avez. Point barre.

Alors oui, il vous faut ce papier pour passer des portes. Mais dans la vraie vie ? Ce qui reste, c’est d’oser parler, comprendre – et surtout, agir. N’allez pas confondre l’outil et le résultat qu’il doit servir.

Score TOEIC niveau : à quoi correspond votre résultat ? Tableau, niveaux CECRL et conseils

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